Confucius, ses disciples et la population

Par Sylvie Gay-Sterboul
Français

Résumé

Les théories les plus anciennes sur la population se trouvent en Grèce et en Chine, bien qu'on puisse trouver dans des textes antérieurs d'autres pays, des observations de caractère doctrinal. De façon générale, l'histoire des doctrines a été longtemps limitée à l'Europe occidentale et plus particulièrement à l'Angleterre, la France et l'Italie. L'INED a fait un grand effort pour élargir le domaine des connaissances. La publication de l'ouvrage de M. Edouard Lipinski « De Copernic à Stanislas Leszczynski : La pensée économique et démographique polonaise » (1961) a été suivie de nombreux articles, notamment sur les démographes hongrois, grâce à la collaboration de M. Robert Horvath. Sur la Chine elle-même, un article a paru dans Population (janvier-mars 1960) sous le titre « Un prémalthusien chinois : Hong-Liang-Ki » et la signature de M. Jean Chesneaux. Mme Sylvie Gay Sterboul, expert démographe, diplômée d'études économiques générales, étudie ici l'œuvre de Confucius et plus généralement, la pensée confucéenne à travers les siècles, au sujet de la population.

Voir l'article sur Persée